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DIRTY RODEO

Pas besoin d'être trois pour faire du rock ! Prenez un bûcheur de fûts façon Keith Moon et un grand dégingandé qui maltraite une Rickenbacker 330 et vous avez la moitié de The Who version garage.

Voici plus de 3 ans que les deux comparses enchaînent les concerts, du petit rade sombre au vaste festival, parfois même par-delà les frontières de l’hexagone. Distillant un savant brassage de la lourdeur désertique du stoner et de la nervosité acérée du punk, le duo forge son unité si particulière : le stunk.

Armé d’un premier EP tonitruant, Dirty Rodeo agrandit, avec effervescence, sa collection de premières parties pas piquées des vers (7Weeks, Johnny Mafia, The Inspector Cluzo, Tagada Jones, Gérard Baste ou encore Ultra Vomit…) et en profite pour huiler sa mécanique déjà plus que ronflante !

Sans relâche sur la route, c’est à la force des bras que ces deux tabarins ont fait naître un ébouriffant LP (« Name This Fucking Record Yourself » pour le sarcasme) à la fin de l’année 2018. Cordes sanglantes et frappes nucléaires cadencent cette première galette, copieuse et velue. Ce nouveau bonbon acide se fait l’augure aguicheur d’une flambée turbulente et enragée. Fidèle à sa frénésie sur scène, Dirty Rodeo continuer aujourd’hui de conjuguer création acharnée et kilomètres dévorés.

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